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En résumé, si c'est bien l'alourdissement de la dette nationale qui constitue le problème grec, la réduction des dépenses publiques ne peut ce mal que par un autre mal?: la récession. Est-ce à que le montant et la croissance de [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] la dette publique grecque ne posent aucun problème?? Nullement. La dette publique grecque pose problème, mais il s'agit d'un sympt?me, pas de la cause. Comme dans la quasi-totalité des cas de croissance excessive de la dette publique, c'est la récession et les taux d'intérêt réels excessifs qui sont les causes de l'alourdissement de la [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] dette, et pas l'inverse. A quoi il faut l'incapacité devenue atavique en ces temps d'ultra-libéralisme à l'imp?t sur ceux qui peuvent le .
de Velde est ma?tre de conférences en économie à l'université Lille-I.
Faute de se les moyens intellectuels et institutionnels de les vrais problèmes, on traite [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] trop souvent de faux problèmes, en croyant ou en faisant qu'il s'agit des vrais.

La dette nationale et non pas la dette publique. Or il se trouve que les mesures de rigueur qui constituent la contrepartie de l' européenne à la Grèce ont pour objet exclusif de s' au déficit public, c'est-à-dire à l'une des causes de la croissance de la dette publique. En admettant que ces mesures atteignent effectivement leur objectif affiché, il faudrait encore que la réduction (ou le ralentissement de la croissance) de la dette publique constitue le seul ou en tout cas le [url=http://www.xjxzjxh.com/home.php?mod=space&uid=243759][/url] meilleur moyen de réduire le poids de la dette nationale ... si la cause du mal à est bien la dépense excessive des Grecs. Et comment [url=http://utalkjournal.spruz.com/pt/Man-drunk-hijacked-a-taxi-and-gave-the-driver-cut-the-car-argued-that-feeling-with.8-4-2013/blog.htm]hollister[/url] la réduction des dépenses publiques pourrait-elle à la réduction du déficit de la balance commerciale, sinon par la récession (le ralentissement de la croissance économique ou, plus s?rement, la décroissance)?? Il existe bien s?r deux autres moyens d' le même résultat?: l'augmentation de la compétitivité de la Grèce et l'accélération de la croissance économique chez les partenaires commerciaux de la , européens en particulier.
à cette formule?? Elle ne peut en qu'un : à que les Grecs consomment et investissent plus qu'ils ne produisent, c'est-à-dire que la somme de la (des ménages et "des administrations") et de l'investissement (y compris public) est supérieur au PIB, la différence étant comblée par un excédent des importations de biens et sur les exportations. Un pays ne peut au-dessus de ses moyens (et [url=http://www.speakeasy.jp/sebbs/index.cgi]hollister outlet sale All You[/url] ils sont nombreux à le ) qu'en important plus qu'il n'exporte. Si l'on fait abstraction des internationaux de revenus, au déficit de la balance commerciale [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] correspond nécessairement un excédent équivalent de la balance des capitaux?: un excès des entrées par rapport aux sorties de capitaux, se traduisant par un accroissement de la dette du pays ou (plus précisément) un accroissement de la différence entre la somme des dettes des résidents vis-à-vis du reste du monde et la somme de leurs créances. En l'occurrence, que les "Grecs vivent au-dessus de leurs moyens", c'est donc que la dette nationale grecque augmente.
La solution au problème du déséquilibre de compétitivité entre la Grèce et ses partenaires de la zone euro ne passe donc pas prioritairement par la politique budgétaire, mais par la [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] des revenus. La croissance des salaires grecs doit certes pour s' sur la croissance de la productivité, mais les pays excédentaires, au premier rang desquels figure l' (mais aussi l' et les ), doivent eux aussi une partie du chemin dans l'autre sens, pour le retard pris par les salaires réels sur la productivité, plut?t que de persévérer dans des politiques de "modération salariale" qualifiées à juste de néo-mercantilistes. Il est toujours difficile d' que les pays excédentaires ont une part de responsabilité dans [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] les déséquilibres de compétitivité et de publiques.
L'amélioration de la compétitivité, c'est-à-dire la baisse du co?t salarial unitaire, peut être obtenue de deux fa?ons : par une baisse des salaires monétaires et par une [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] accélération des gains de productivité (comparés [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] à l'évolution des mêmes variables chez les partenaires commerciaux). De nouveau se pose la même question?: peut-on espérer y par une réduction des dépenses publiques?? Il est difficile de prétendre que la baisse des dépenses publiques est favorable aux [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] gains de productivité. Quant à la réduction (ou au ralentissement) des salaires monétaires, on ne peut espérer l' directement d'une réduction des dépenses publiques, puisque ce sont les salaires des fonctionnaires qu'on se propose de réduire et que, jusqu'à preuve du contraire, les services non marchands qu'ils produisent ne sont pas exportés. Cette fois encore, ce n'est pas de la réduction des dépenses publiques elle-même, mais de la récession qu'elle ne manquera pas d', qu'on attend le résultat annoncé. Si c'est bien le cas, il faut le dire?!
Une vraie solution du problème de la dette nationale grecque passe par la relance de l'économie allemande et son inflexion vers le marché domestique, condition nécessaire à la relance de l'ensemble de l'économie européenne. Quant au traitement du problème de l'interférence entre dette publique et dette [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] nationale, lié au fait que [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] les dettes publiques sont pour l'essentiel des dettes extérieures, l'un des éléments [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] d'une solution à la fois rationnelle et efficace passerait par l'"européanisation" d'une partie de l'ensemble des dettes publiques de la zone euro, qui impliquerait elle-même un vigoureux renforcement de la coordination des politiques budgétaires, une véritable politique de change et la monétisation d'une partie de la dette publique européenne, c'est-à-dire par l'élaboration d'une véritable politique économique européenne.
"L'EUROP?ANISATION"
Le second problème que pose la dette publique grecque est qu'elle est, comme toutes les dettes publiques, très majoritairement financée par des capitaux étrangers. C'est sur le marché mondialisé des capitaux que le gouvernement grec lève les fonds nécessaires au financement de sa dette, et c'est pour cela que "les marchés" peuvent s'en à c?ur joie. La réduction du co?t du financement des dettes publiques a d'ailleurs constitué l'un des principaux arguments à l'appui du big bang financier intervenu au tournant des années 80, à l'initiative et sous la conduite des pouvoirs publics eux-mêmes. Avec le recul, on appréciera la pertinence de l'argument.