Guild Wars Guild

[qdnto15z]

Pour résorber les sites existants, les réponses tardent à . Seules Tahiti et Bora Bora sont équipées de centres d'enfouissements techniques permettant de contr?ler les déchets stockés pour éviter les du milieu naturel. Ceux de et de Rapa, achevés depuis 2008, ne fonctionnent pas, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] faute d'accord sur leur financement.
La directive de l' restreignant l'enfouissement aux déchets ultimes ne s'impose pas sur [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] ce territoire de la République doté d'une [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] large autonomie. Du coup, les décharges sauvages ont fleuri sur ces ?les souvent qualifiées de "cartes postales".
En [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] 2011, le bureau d'étude Capse, chargé d'évaluer la situation dans la perspective de la fermeture de la décharge, a conclu à l'existence d'un "risque majeur pour l'environnement naturel et humain". Les teneurs en aluminium, manganèse et hydrocarbures détectées dans la nappe phréatique dépassent les normes de sécurité. Il recommandait aussi une analyse complémentaire de "la concentration en polluants des légumes consommés par la " et préconisait, en attendant, de "limiter, voire leur ".
LA D?CHARGE DE MAUPITI [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=220683313529&ssPageName=STRK:MESE:IT]woolrich Ligue Europa PSG-S[/url] D?BORDE SUR LE LAGON
Des filières de collecte sélective existent depuis dix ans mais fournissent de maigres résultats. Même à Punaauia, la commune désignée "Tortue d'or" par la société d'environnement polynésienne pour l'efficacité du tri de ses administrés, les matières recyclables récupérées atteignent à peine 50 % du potentiel identifié.
Dans les ?les de Polynésie fran?aise, la gestion des déchets tourne au cauchemar. "Tubuai n'est pas unique. La situation est identique dans toutes nos ?les", confirme le ministre de l'environnement.
, on rebouche, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] et on creuse un autre trou", raconte Thérèse, qui tient une pension non loin du site. Ici poussaient autrefois des herbes hautes. Elles ont disparu. "Il faut le site rapidement, l?che le maire de la commune, . Nous savons que le dépotoir provoque une grave pollution."
Dans l'archipel des Australes, chaque habitant produit 345 g de déchets par jour, deux tiers de moins qu'à Tahiti. Mais cette quantité n'en reste pas moins ingérable sur [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] ces territoires exigus.
Des tonnes de détritus se sont accumulées depuis une trentaine d'années au rythme de l'évolution des modes de vie. Le développement du territoire qui a suivi l'installation du d'expérimentations nucléaires du Pacifique, à de 1963, s'est accompagné d'un flux jusque-là inexistant de produits manufacturés. Mais nul ne s'est soucié de ce qu'ils deviendraient une fois hors d'usage.
La construction de celui de Tubuai, prévue pour quarante années de déchets, devrait en 2013. "Au rythme actuel, il [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] sera plein dans quinze ans", estime, pessimiste, , technicien chargé des déchets à Tubuai.
Mais rien n'a été fait. Une dizaine de familles vivent à quelques centaines de mètres du dépotoir. "Nous avons entendu de rumeurs de pollution. Mais, on ne conna?t pas la nature du danger", déplore une habitante voisine du site. Elu du parti écologiste polynésien Heiura Les Verts, le ministre de l'environnement, Jacky [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]boots ugg pas cher Zynga, nou[/url] Bryant, confirme qu'aucune nouvelle étude n'a été menée, mais assure que le service du développement rural déconseille de à proximité de la décharge. [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] "Des analyses complémentaires ne feraient que ce que nous savons", admet-il.
Pour de réduire la production de déchets, le ministère de l'environnement a établi une stratégie en trois points [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] : une taxe afin d' les importateurs à des produits économes en emballages, des sanctions pour ceux qui ne trient pas et l'expérimentation d'incinérateurs de petite capacité.
Sans prise de conscience collective, la Polynésie risque de ne plus face. Un budget de plus de 21 millions d'euros a été alloué dans le cadre des accords entre l'Etat et la collectivité d' pour des projets liés à la gestion des déchets. Mais, signe supplémentaire de l'absence de volonté , à un an de la fin de ce contrat de projet, les sommes déboursées restent dérisoires.
Celle de Maupiti déborde sur le [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] lagon. A , les fumées qui en émanaient altéraient régulièrement la visibilité des avions. [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] Aujourd'hui, les habitants de Tahiti, l'?le la plus peuplée, produisent 60 000 tonnes par an de déchets non [url=http://www.5chong.cn/GuestBook.asp?ReViewID=2]boots ugg[/url] recyclables, selon une étude financée par l'Ademe et présentée le 7 novembre au conseil des ministres du territoire. Une masse comparable aux citadins de métropole.
COLLECTE S?LECTIVE AUX MAIGRES R?SULTATS