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Selon les propos du président malien que le ministre fran?ais de l'intérieur a souhaité , l'enlèvement des salariés d'Areva et [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] Satom n'aurait pas été perpétré directement par AQMI, mais il aurait été "sous-traité", probablement à des Touarègues. "ATT" [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] aurait confirmé que les otages avaient pénétré sur son territoire, mais [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ne saurait pas s'ils s'y trouvent encore. Enfin M. Toumani Touré, interrogé par M. Hortefeux sur "le meilleur moyen de contre l'expansion d'AQMI", se serait déclaré [url=http://www.hikima-clinic.com/cgi-bin/aska/aska.cgi?ref=2953]abercrombie The Best Way To D[/url] partisan "non d'une action isolée mais d'une action conjuguée des pays riverains". Mais cette perspective relève de l'utopie puisque l'Etat-major commun à ces quatre pays déjà installé à Tamanrasset (Algérie) en avril dernier et censé la lutte contre AQMI reste à ce jour une coquille vide, notamment en raison de la volonté hégémonique de l'Algérie.
Le déplacement d'un ministre fran?ais en ce 22 septembre [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] marquant le cinquantenaire de l'indépendance du Mali, ancien " fran?ais", était prévu de longue date. Mais le sort des otages d' au Maghreb islamique () désormais localisés au Mali, selon toute vraisemblance, fait de Bamako un interlocuteur primordial et donne une tout autre tonalité à la visite de ce proche de . "Il ne s'agissait pas d'une visite protocolaire", a confirmé le ministre, en soulignant que "c'est [url=http://www.tiu.ac.jp/seminar/hiwakizemi/aska/aska.cgi?phpmyadmin=n-252274657ctkm9x0q9j1jymhh3dnjkgk%3C/a%3E]hollister outlet sale Un ex-s[/url] la troisième prise [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] d'otages en un an dans laquelle le Mali est concerné".
En revanche, le partage de renseignements entre Paris et Bamako et la coopération fran?aise en matière d'observation aérienne pourraient se révéler plus productifs.
Mercredi, l' malienne a longuement défilé à Bamako, comme si de rien n'était, à l'occasion de [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] la fête nationale, sous les [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] yeux de M. Hortefeux et de plusieurs chefs d'Etat africains. Dans son discours célébrant l'anniversaire de la fin de la colonisation, "ATT" a rappelé qu'en 1961, son pays avait décidé "l'évacuation des troupes étrangères (fran?aises) stationnées sur son territoire". Difficile, le jour où l'on magnifie le patriotisme, de leur retour.
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Aujourd'hui, non seulement le désert malien abrite les ravisseurs et leurs proies, mais Bamako peut être le point de convergence [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] de renseignements décisifs, en raison des multiples liens tant commerciaux que crapuleux tissés par les islamistes avec les Touarègues du Nord-Mali. Ces derniers mois, le président malien a eu à négocier la libération d'otages fran?ais et les intermédiaires [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] qu'il a activés peuvent se révéler à nouveau utiles. Paris n'oublie [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] pas, en particulier le r?le décisif de M. é dans la libération de , un Fran?ais enlevé au Mali en novembre 2009 et libéré en février.
Un rapt "sous-traité"
Mais [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] le président malien, sollicité par pour qu'il autorise le déploiement de militaires fran?ais sur son sol au lendemain du rapt de Tarlit, a opposé son refus. Il considère son pays comme "victime et otage" des islamistes d'AQMI. Ces derniers "sont venus du Maghreb. Nous n'avons rien à avec cette histoire", a-t-il déclaré, dimanche 19 septembre.
La France et le ont "progressé vers [url=http://www.hikima-clinic.com/cgi-bin/aska/aska.cgi?ref=herseybedava.info%22%3Eleather-based%2BResult:%]woolrich outlet Good Relation[/url] une vision commune" de la situation créée par le rapt des sept employés d'Areva et de Satom-Vinci au , a déclaré au Monde Brice Hortefeux, le ministre fran?ais de l'intérieur, mercredi 22 septembre au soir, à l'issue d'un entretien d'une heure avec Amadou Toumani Touré - surnommé "ATT" -, président de la République malienne. Selon M. Hortefeux, le président malien, dont il était venu "recueillir le sentiment", aurait "exprimé sa solidarité avec la France". Il se serait déclaré "d'accord pour les forces ées maliennes dans le cadre d'une action conjuguée avec les pays riverains (, , Niger et Mali)". M. Toumani Touré pense que "la France a un r?le à , qu'elle est partenaire (du Mali) en matière d'appui logistique, de renseignement et d'observation aérienne", a ajouté le ministre. Interrogé la veille pour si la France allait militairement pour libérer les orages, M. Hortefeux avait répondu [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] : "Non. A ce stade, non."
Au nom de cette analyse, M. Toumani Touré, qui souhaite éviter que le terrorisme gagne la partie sud du Mali abritant 90 % de sa , n'a pas engagé ses propres militaires contre les islamistes, qu'il tolère de fait dans le nord désertique de son pays. En revanche, il a laissé les soldats mauritaniens AQMI sur le territoire malien le dernier.