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, alors que le conflit é s'est encore amplifié sur le terrain. Le premier secrétaire de la , Nabil El-Arabi, présentera un plan de sortie de crise devant le Conseil de sécurité de l'ONU, qui se prononcera ensuite sur une nouvelle résolution directement inspirée de ce plan. A l'heure actuelle, l'adoption de cette résolution dépend presque entièrement de la et de la , membres permanents du Conseil disposant du droit de veto et fermement opposés à toute intervention étrangère.
Burhan Ghalioun, chef du Conseil national syrien, organisme réunissant la quasi-totalité des courants de l'opposition, a exclu catégoriquement la présence de son organisation à de telles négociations, répétant que "la démission d'Assad est une condition pour toute négociation".?"Si les Russes veulent une solution négociée à la situation dramatique dans le pays, ils doivent qu'Assad doit car un assassin du peuple ne doit pas une transition vers la démocratie", a-t-il ajouté avant de se à New York.
Le nouveau projet, présenté officiellement par le Maroc, reprend presque mot pour mot le plan élaboré par la Ligue arabe en demandant un soutien :
La diplomatie russe, qui se dit prête à "négocier", défend un processus politique conduit uniquement par les Syriens et non "une issue imposée par la Ligue arabe à un processus politique qui n'a même pas encore commencé". Elle refuse également toute référence à un "changement de régime", selon son ambassadeur à l'ONU, . Une allusion directe à la , où la résolution de l'ONU ayant autorisé l'intervention militaire internationale avait été adoptée avec les voix russes et chinoises.
Une autre "ligne rouge" critiquée par la diplomatie russe est "l'imposition [par la résolution] d'un quelconque embargo sur les [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]piumini moncler outlet Stockh[/url] armes", comme l'a rappelé Vitali Tchourkine. Alors même que la répression monte en intensité, le commerce d'armes entre Damas et Moscou se poursuit, provoquant la colère de plusieurs diplomates européens. "Je ne vois pas pourquoi nous devrions nous pour cela, a récemment déclaré le vice-ministre des affaires étrangères, Sergue? Ryabkov, à la radio . Je ne vois pas pourquoi [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] nous devrions constamment , blêmes ou abondamment. Nous [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] sommes dans notre droit."
Selon un diplomate, cité anonymement par Reuters, le projet de résolution est actuellement "soutenu par au moins dix des quinze membres du Conseil de sécurité des Nations", a fortiori par certains des nouveaux membres temporaires (, , , et ). Mais comme le rappelle le ministre des fran?ais, Alain Juppé, ,?"les conditions pour une résolution ne sont pas encore [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] réunies, puisque la Russie continue à de la résistance".

Le retour du dossier syrien à l'ONU a été précipité par la [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] suspension de la mission d'observation de la Ligue arabe et le départ [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] de ses inspecteurs, samedi, alors même que le régime de avait accepté de la [url=http://www.burnabystorage.com/barbour.php]barbour sito ufficiale[/url] pendant un mois. M. El-Arabi avait justifié cette décision par "la détérioration significative de la situation" sur place, accusant Damas d' "opté pour l'escalade sécuritaire".
En effet, la Russie ne cherche même pas à ce commerce. Elle a récemment vendu 36 avions de chasse Yak-130 au régime syrien pour 550 millions de dollars. Auparavant, un navire transportant jusqu'à 60 tonnes d'armes et d'équipements militaires a pu par à destination de la Syrie, selon des russes. En 2010, la Syrie a acheté pour 700 millions de dollars d'armement à la Russie, ce qui représente 7 % [url=http://kumatan.lovesick.jp/bbs1/epad.cgi/epad.cgi%22]hollister france Sagittarius [/url] des ventes russes à l'étranger dans ce secteur, selon . Mais il faut ces chiffres, comme le note Peter Harling. "Le volume actuel des contrats d'armement n'est pas très important, explique-t-il. Ces dernières années, la Russie s'est toujours abstenue d' au régime syrien un quelconque [url=http://www.lotogame.fr/louboutin-pas-cher/]louboutin pas cher[/url] avantage dans le rapport de force avec ."
- Il ne propose pas explicitement la mise en place de sanctions contre Damas, mais prévient que le Conseil [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] de sécurité pourrait "prendre des mesures supplémentaires" si le régime syrien ne respecte pas ses décisions dans les deux semaines.
- Il appelle le régime de Bachar Al-Assad à "immédiatement un terme à toutes les attaques et violations des droits de l'homme" contre la civile. Selon un bilan des Nations unies, au moins 5 400 personnes on été tuées depuis le début de la contestation en mars. Les responsables des Nations unies ont reconnu la semaine dernière ne plus être en mesure de un bilan fiable, laissant que celui-ci pourrait être [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] beaucoup plus important.
Or, à peine l'annonce de cette résolution était rendue publique, vendredi, que la Russie prévenait haut et fort qu'elle était "vouée à l'échec". Moscou avait déjà proposé son propre projet de résolution à l'ONU, qui fait la responsabilité des violences aussi bien sur que sur l'opposition, une option rejetée par les pays occidentaux.
- Il propose une "transition " d'une durée de deux mois, avec un transfert du du président Bachar Al-Assad [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] au profit de son vice-président et la formation d'un gouvernement d'union nationale, chargé de préparer des élections. L'aboutissement serait "un départ pacifique" de l'actuel régime.
Pour éviter de par l'ONU, Moscou propose des négociations bilatérales sur son propre sol entre l'opposition syrienne et le régime. "Les Russes cherchent à un r?le dans cette transition négociée", souligne Peter Harling, rappelant que Moscou possède une certaine légitimité en tant que "seul acteur à des liens avec le régime syrien et avec le reste du monde, contrairement à l'". Le ministère des affaires étrangères russe a confirmé, lundi, que Damas avait donné son accord pour à de telles négociations.
"LIGNES ROUGES"
LA RUSSIE N'A PAS ? "ROUGIR"
Un précédent projet de résolution condamnant la répression en avait ainsi déjà été [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] rejeté en octobre par Moscou et Pékin. Mais si la Chine est quelque peu effacée diplomatiquement sur ce dossier, Moscou n'hésite pas à publiquement son opposition aux solutions défendues par les Européens, quitte à des alternatives qui servent davantage [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] ses intérêts.
Pour , spécialiste de la Syrie à l' Group, la Russie ne cherche pas à co?te que co?te le processus diplomatique, mais bien à le contr?ler pour défendre ses intérêts. "Il faut les Russes sur les perspectives d'une transition qui se ferait sans précipiter l'effondrement de l'Etat et les équilibres régionaux, explique-t-il. Pour l'instant, ils craignent les ambitions stratégiques des Occidentaux, les orientations islamistes de l'opposition en exil, et les risques de chaos sur le terrain." "Les Russes haussent le ton pour la forme, mais ils sont clairement dans une logique de négociation", .
Le [url=http://www.izumito.com/Cgi-bin/takashima/bbs/joyful/joyful.cgi]louboutin Get The Best Deals [/url] chef de la russe, Sergue? Lavrov, a évoqué le franchissement d'un certain nombre de "lignes rouges" qui étaient inacceptables pour son gouvernement. En premier lieu desquelles figure le départ de Bachar Al-Assad comme condition préalable à toute négociation, que les Russes considèrent comme très risqué au vu de l'équilibre régional. Est-ce à que le nouveau projet de résolution est mort-né ?