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Mme Rousseff s'était engagée, pendant sa campagne électorale, à ne pas éroder les dépenses publiques. Ce n'était qu'une promesse de circonstance, [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] qu'elle a été contrainte d', au vu des derniers indices mensuels de l'inflation. Les coupes annoncées représentent 1,2 % du produit intérieur brut (PIB). Le détail en sera connu dans les prochains jours. Elles toucheront tous les ministères. Certaines se veulent exemplaires, comme la suspension des concours de recrutement dans la fonction publique ou la réduction de moitié des dépenses de et des indemnités des fonctionnaires. D'autres visent les amendements budgétaires proposés par les parlementaires au profit de leurs circonscriptions.
En montrant le bon exemple, le gouvernement espère alléger la pression qui pèse sur la banque centrale, dans sa lutte contre l'inflation, au-delà des futures hausses annoncées de son taux directeur. Il veut éviter d'être acculé à une politique de rigueur qui refroidirait trop l'économie. M. Mantega a prévu pour 2011 la poursuite d'une "croissance durable" qu'il fixe à [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] 5 % contre 7,5 % en 2010.
Ces deux dernières années, [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246435893&ssPageName=STRK:MESE:IT]moncler Areva signe un contra[/url] le gouvernement de l'ancien président Luiz Inacio Lula da Silva avait augmenté le budget de l'Etat - en accordant notamment des subventions et des exemptions fiscales - pour la demande, face à la crise mondiale. Ces [url=http://hxshxx.238200.com/guestbook.asp]peuterey P[/url] encouragements ont rempli leur [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] r?le en limitant l'ampleur et la durée de la récession. Ils sont abrogés.
Pour témoigner [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] du sérieux [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] de sa d'austérité, M. Mantega a précisé qu'en cas de bonne surprise fiscale, l'éventuel excédent de recettes ne serait pas [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] dépensé, mais alloué au remboursement [url=http://bbs.diablofans.com.cn/read.php?tid=23538]louboutin PPL Must You Join This Business[/url] de la dette ou au financement du fonds souverain du Brésil, créé pour protéger le pays en période de crise. L'excédent budgétaire, une fois accru par les nouvelles coupes, atteindra 2,9 % du PIB, légèrement en dessous de l'objectif officiel (3,1 %).
la ceinture. La colonne dépenses de son budget 2011 sera amputée de quelque 30 milliards de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] dollars (22 milliards d'euros). Ces coupes ne toucheront ni les investissements dans les infrastructures ni les programmes sociaux.
Le secteur productif n'échappera pas totalement à la rigueur puisque le Trésor réduira ses subventions à la BNDES, la grande banque publique en charge du développement. En outre, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] le budget du programme d'accélération de la croissance n'a été utilisé en 2010 qu'à 68 %, ce qui a entra?né de facto un ralentissement de ce programme.
La ministre du plan, Miriam Belchior, a promis qu'il n'y aurait aucune coupe dans le programme d'accélération de la croissance qui [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] finance les grands travaux d'infrastructure du pays et dont Mme Rousseff avait la responsabilité avant d' en campagne présidentielle. "Nous allons à les investissements", a renchéri le ministre des , Guido Mantega.
Ces futures économies ont pour but de l'inflation, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] en réduisant la demande. C'est la préoccupation essentielle du gouvernement de la nouvelle présidente, Dilma Rousseff. En 2010, les prix ont augmenté de 5,9 % au , soit nettement plus que l'objectif souhaité (4,5 %). Ils ont suivi le même rythme en janvier.
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La flambée des prix a pour principale cause la hausse actuelle, pour des raisons en partie spéculatives, des cours des , notamment agricoles, dont le pays est l'un des grands fournisseurs mondiaux. D'où une hausse sensible des prix alimentaires, au Brésil même, qui nourrit l'inflation pour plus [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] des deux tiers. Pour la , la Banque centrale a, il y a quelques [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] semaines, relevé son taux directeur d'un demi-point, à 11,25 %. Celui-ci est désormais le plus élevé du monde en termes réels, c'est-à-dire corrigé de l'inflation. Ce n'était qu'un premier pas. L'heure est venue de dans les dépenses publiques.