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"La réforme est un succès en termes d'attractivité auprès des élèves comme de leurs parents", [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] convient , ma?tre de conférences à l'IUFM de l'université de Nantes, qui a enquêté auprès d'un demi-millier d'adolescents en lycée professionnel, notamment en Loire-Atlantique. [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] "Ils ne choisissent plus cette [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] orientation par défaut, mais l'assument et s'en montrent satisfaits", explique-t-il. La progression des inscriptions dans ces filières, en 2011, s'explique aussi par un effet mécanique - que les experts, les syndicats d'enseignants et même la désignent sous le terme d'"effet bourrelet". Les premiers candidats au "bac pro trois ans" - ceux entrés en seconde en 2008 - se cumulent avec la dernière génération du "bac pro quatre ans". "L'an prochain, la progression devrait se , mais [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] plus discrètement", conclut M. Troger.
dans l'augmentation des effectifs une conséquence de la réforme de la voie professionnelle, lancée en 2007 ? Objet de cette réforme : "Revaloriser l'image du lycée professionnel", "en [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] une nouvelle voie d'excellence", soulignait l'Elysée en 2009. Et ce, en réduisant de quatre à trois ans la durée de formation (2de, première et terminale professionnelles), de manière à l' sur les voies générale et technologique. Le brevet [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] d'études professionnel (BEP), que les élèves passaient deux ans après la troisième, [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] n'est plus qu'une étape préparatoire au bac pro. Il ne sert donc plus de palier de sélection.
On ne peut du bilan de la [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=390331089734&ssPageName=STRK:MESE:IT]hollister france Revealed Sec[/url] réforme qu'au conditionnel. Mais certains effets s'imposent déjà. Comme l'incitation faite aux adolescents à au-delà du bac. C'est en tout cas sur ce point que le ministère communique : "La rénovation de la voie pro permet aux élèves de mieux leurs études", affirme , directeur général de l'enseignement scolaire. C'est aussi ce qu'observe , auteur de Sociologie du lycée professionnel (Presses universitaires du Mirail, 2009) : "La réforme a créé de nouvelles ambitions scolaires."
Y a-t-il décrochage pour autant ? Selon les chiffres rappelés par en mai, sur les 180 000 jeunes repérés comme décrocheurs entre juin 2010 et [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751927900]barbour pas cher soldes Easy [/url] mars 2011, 36 % venaient de lycée professionnel contre 42 % de lycée général ou technologique. Pour , secrétaire général adjoint du Snetaa-FO, le risque n'existe pas : "Les élèves peuvent avec un BEP, une passerelle pour un CAP (certificat d'aptitudes professionnelles)."
Mais elle pourrait aussi en démotiver plus d'un. Car pour aux bacheliers professionnels de jusqu'au brevet de technicien supérieur (BTS), il a fallu "déprofessionnaliser" un peu les enseignements, explique M. Jellab. "Les programmes font référence à des compétences professionnelles, mais de plus en plus technologiques et générales. On est plus proche de l'identité du technicien que celle de l'ouvrier." Résultat : les élèves qui arrivent en lycée pro, souvent en difficulté scolaire, se rendent compte qu'ils n'en ont pas [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] fini avec la théorie...
Nombre de professeurs s'étaient opposés à cette réforme, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] permettant surtout, à leurs yeux, de réduire le nombre de postes d'enseignants dans cette filière. Ils [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] doivent aujourd'hui s' à un temps d'enseignement resserré, à des classes de niveaux plus hétérogènes, à des élèves plus jeunes, qui ont moins redoublé que leurs a?nés. [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4Pcs-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-LIGHT-STRIP-YELLOW-/320606899868]hollister sale Quand lunivers[/url] "On ne leur laisse pas le temps de m?rir, et on leur demande d'en autant - si ce n'est plus - en moins de temps", témoigne Anne-Marie Le Gallo-Piteau, du syndicat Snalc, professeure de vente en lycée pro à Villeurbanne (Rh?ne).
"Ce sont des élèves qui auraient besoin d'être mieux accueillis lorsqu'ils débarquent en seconde, persuadés d' dans une voie de relégation. Or, on a moins de temps pour les , les remotiver", ajoute Jér?me Dammerey, du SNUep-FSU. Pour ceux qui accèdent aux études supérieures, les risques de décrochage ne sont pas écartés. 93 % des bacheliers pro échoueraient dès la première année d'université, selon le Snetaa-FO. En BTS, en revanche, ils auraient autant de chances de réussir que les bacheliers généraux ou technologiques.
"Mieux accueillir"
Mais cette position ne fait pas l'unanimité. "Le décrochage dans la voie pro réformée me semble important dès la classe de seconde", [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] soutient , du syndicat SNES-FSU, professeur de mécanique [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] en lycée professionnel à Paris. "Mais il nous faut deux à trois ans de recul pour la mesure du phénomène."