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Gagner au moyen du ? moyen ?
Une lutte circonscrite aux très hautes sphères
Fort de ce constat, on comprend mieux pourquoi les périodes de domination prennent, en tennis, des allures de règne sans partage. Et pourquoi seules les époques ?troublées? échappent à la règle pour offrir des résultats biscornus. Ainsi, à l'aube des années 2000, Goran Ivanisevic, Albert Costa, Thomas Johansson, Andy Roddick ou Juan Carlos Ferrero se sont mués en vainqueur de Grand Chelem pendant un ère où, [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751927900]louboutin Lose Weight Fast Di[/url] vacance du pouvoir oblige, la salle du tr?ne était ouverte aux quatre vents. En ce temps-là, alors que le sceptre vagabondait, nul n'avait su élever son niveau moyen assez haut pour s'extraire de [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] la nasse.
Rafael Nadal et Roger Federer n'ont pas manqué leur entrée en lice au Masters de Londres. L'un a peiné contre un bon Jo-Wilfried Tsonga (6/2, 2/6, 6/4), l'autre a fol?tré près de trois heures pour venir à bout de Mardy Fish (6/2, 3/6, 7/6), mais - au diable les péripéties - l'issue est la même pour les deux géants du groupe B. Comme prévu, en somme.
Leur niveau ? moyen ? est tel qu'il interdit toute contestation d'envergure et qu'il est tout proche [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] d'abolir la notion d'aléatoire si chère au sport. Fort heureusement, cette situation a deux vertus. S'ils dominent sans partage le reste du monde, entre ces quatre-là, l'incertitude est plus que [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=330564537225&ssPageName=STRK:MESE:IT]hollister IV Infusion Therapy[/url] jamais de [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] mise et les affrontements titanesques sont légion. Par ailleurs, cette emprise outrancière a [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] le mérite de redonner ses lettres de noblesse au terme d'exploit.
Or, et voici la deuxième partie de l'explication, depuis quelques temps, les joueurs classés au-delà de la quatrième place mondiale sont proprement asservis par le quartette qui les précède (Djokovic, Nadal, Murray, Federer), dont chaque victoire sonne comme un sempiternel rappel de leur supériorité évidente. Ce quatuor, sans doute le plus boulimique [url=http://www.lfwenan.com/bbs/home.php?mod=space&uid=10784][/url] jamais entraper?u sur les courts du monde entier (depuis juin 2004, deux titres majeurs [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] ont échappé aux trois matadors Federer, Nadal et Djokovic, ceux de Safin en Australie, en 2005, et de Del Potro [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] à l'US Open, en 2009), pousse donc la théorie à l'extrême.
Quand Jo-Wilfried Tsonga domine Nadal en [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] Australie ou Federer à Wimbledon, il s'agit d'authentiques prouesses. Plus que jamais, Jo est à la croisée des chemins. Soit il parvient à hausser son niveau moyen pour (enfin) batailler d'égal à égal, soit il continuera, malgré ses hauts faits épisodiques, à subir la loi des plus forts.
Les titres et les lauriers ne s'offrent pas (nécessairement) à celui qui possède le plus de prédispositions mais bien à celui qui aura su tirer la quintessence de ses moyens. Bien s?r, quand les deux sont réunis, [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] quand le plus doué parvient à rendre l'incroyable si ordinaire, cela [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] donne le meilleur joueur de l'histoire (suivez mon regard...), mais ?'en est une autre, d'histoire.
Et pourquoi donc ? Parce que, contrairement à une idée diablement répandue, ce n'est pas sa faculté à [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] atteindre un niveau inaccessible qui fait d'un joueur un seigneur de ce sport, mais bien sa propension à pratiquer un niveau de jeu ? moyen ? suffisamment supérieur à celui des autres. Paradoxalement, un champion, donc un être a priori exceptionnel, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] se juge sur ses capacités ordinaires, pas sur les sommets qu'il est potentiellement capable de gravir. Nadal en est l'exemple parfait. Encore moins que quiconque, jamais Rafa ne descendra sous un seuil de performance donné. Or, cette barrière suffit, presque à elle toute seule, à le prémunir de la défaite au-delà du Top 20. Et quand il hausse le curseur...
Ce constat élémentaire, qui consiste à expliquer, au prix de circonvolutions d'usage, que le plus fort a gagné, les commentateurs de tous bords n'ont eu de cesse de le ressasser ces dernières années. Pour une raison inhérente au tennis en premier lieu. Contrairement à beaucoup d'autres disciplines, le tennis ne laisse que peu de place à l'incertitude. Ainsi, l'épopée des amateurs de Calais, parvenus en finale de la Coupe de France de football (en 2000), n'a pas [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] vraiment d'équivalent tennistique. Cela reviendrait à peu près à retrouver le 500e mondial en finale de Grand Chelem. Difficilement envisageable.